"encres et collages" Alain TOUSSAINT
15/02/2019>>>09/03/2019
"encres et collages" Alain TOUSSAINT
15/02/2019>>>09/03/2019

ANNÉE 2017
Du 7 janvier au 12 février 2017:
Carte blanche à LA XINA-ART de Barcelone:
Une exposition KaNîBaL'HoPoX.
Peintures, sculptures, performance.


"Les sculptures de Bruno d’Abrigeon déclinent le temps qui passe et l’improbable résurrection des corps. Si certaines évoquent la sépulture, sa problématique et son dépassement au travers des divers matériaux utilisés, un autre retient notre attention. Il s’agit d’une pierre de grès brute, animée d’un battement cardiaque, dissimulé sous un camouflage de silicone et de pierre, intitulé Palpitations, posée sur un socle en acier rouillé. On ne peut qu’évoquer l’incontournable fin des Visiteurs du soir, le film de Marcel Carné, où bat le cœur des amants malgré le sort jeté par le Diable, les transformant en statues.
Cette métaphore du cœur amoureux, en opposition même avec l’expression cœur de pierre, illustre le propos de l’artiste quant à la continuité de sa pratique, sa distance face à la mode qui passe, enfin sa paradoxale jeunesse."Christian SKIMAO.
Du 14 avril au 11 juin 2017:
Carte blanche à TPK artipensamentcontemporani
(L’Hospitalet de Llobregat,Barcelone).
Une exposition collective KaNîBaL'HoPoX.
Dessins et performance

"Va et vient" jeu collectif entre 4,Barbier et TPK ( L'Hospitalet de Llobregat Barcelone)
et performance Butoh
Exposition de 24 œuvres co-réalisées “à quatre mains” par 22 artistes de 4,BARBIER et 24 du Centre d’art TPK de Barcelone, dans le cadre des échanges KANIBAL’HOPOX.
Valle AGUILAR et Béatrice B. BONHOMME,
Dani AIXELÁ et Helga STÜBER ,
Nico BOU et Dana STOCES ,
Angels CAMPANERA et DENIS XXII ,
Xaro CASTILLO et Christelle TEISSEDRE,
Carmen COLLANTES et Grégoire FABVRE
Teresa COMPANY et DENIS XXII ,
Vicente DA PALMA et François CLOUX,
Reme DOMINGO et Catherine GUILBOT ,
J.M. FERRER et Marie Claude BÉGUET,
Jaume FONT et Bruno D’ABRIGEON ,
Agustin FRUCTUOSO et CLARBOUS ,
Flporencio GARCIA et Alain TOUSSAINT ,
Teresa GÓMEZ MARTORELL et Grégoire FABVRE .
Rodo GREENE et Anne BREGUIBOUL,
Francesc LANUZA et Marc BOUCHACOURT,
Amparo R. MAJÁN et Suzanne OTWELL-NÈGRE,
Jose MART et Marie ALKEMA,
Rosa MORENO et Marie-Françoise PROST-MANILLER ,
Jaume PADRE et Jean-Pierre BOREZZÉ ,
Javi SALAS et Elisabeth KROTOFF,
Diego TAMPANELLI et Marie-Dominique BIDARD ,
Francesc YLLA et Bernard FABVRE ,
Du 16 juin au 23 juillet 2017:
DÉRIVES
Grégoire FABVRE
Sculptures

« Dérives »
« Fragments de terres à la dérive. De l’eau nappée du sable du désert émergent les langues et écritures d’un temps révolu. Sur les papiers fanés souffle l’histoire des maisons disparues. Percées au cœur, les briques s’éparpillent au-delà des frontières. S’y dessinent en creux les formes d’un mirage commun. Reliques éphémères des évolutions avortées qui nous laissent en quête d’une archéologie contemporaine fantasmée. » Grégoire Fabvre.
Du 3 au 27 août 2017:
Vitrine de DENIS VINGT-DEUX
Sculptures

Du 8 septembre au 10 octobre 2017:
DES SIGNES PERFORÉS
Daniel AULAGNIER
Peintures

DES SIGNES PERFORÉS
Peintures
"La lettre est l’outil du mot"
Artiste-plasticien, j’interroge mon rapport au monde par la mise en jeu de signes et de symboles qui le structurent. Mon processus évolue entre figuration et abstraction, réflexion et positionnement sociétal.
Dans cette exposition, 4 BARBIER devient la forme matricielle du phénomène plastique. Ce nom est à la fois signe et synthèse. Il est articulé, manipulé, retravaillé. Il devient un véritable instrument de création.

« (e)
Pourquoi elle se retrouve trop souvent entre parenthèses ?
Ces robes ludiques et métonymiques dénoncent avec humour et gravité le regard de certains sur la femme. »

"Nature morte en monochrome beige" Diego BUSTAMANTE.
« L'espace du 4 barbier et sa vitrine seront un réceptacle pour une de mes sculptures. Ma réalisation consistera à dessiner une structure dans l'espace à partir de tasseaux de bois. C'est un matériau peu coûteux et partagé dans de nombreuses activités telles que le design, le bricolage, la menuiserie, les chantiers... Je le montrerai alors dénudé de sa valeur d'usage, pour ce qu'il est. Cette construction est pour moi une façon de me mesurer littéralement à l'espace en évoquant par mes formes une étagère design, un échafaudage, une architecture, un plan , toujours en gardant un désir pour la chose qui, à contrario de ces exemples, sera inutile et équivoque. Ce geste est pour moi une recherche de l'essentiel, qui vient contraster avec la disponibilité vraisemblablement illimitée de ce matériau. »
D. BUSTAMANTE.










































































